Talk:韓桑林

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Quote: 『出生於波羅勉省,曾為波爾布特領導的紅色高棉成員,該組織由中國扶持[來源請求]』

凡要求編者出示『來源請求』前,希望有這樣要求的編輯者首先提出要求『來源請求』的必要!1加1等於2,需要來源請求嗎?凡事沒有理由,卻濫用或者有目的地要求編者出示來源,這是完全沒有目的、沒有必要的事情。敝人觀察凡有政治性的條目,都有特別多的人士要求編者出示來源,某些條目裡面,簡直有濫用的情況。

所謂的『來源』,根據甚麼基準證明它是正確而編者反而錯誤的呢?不要對人說鄭蘋如的事蹟,卻要查證張愛玲或者更可悲地查證李安的東西去作為其『來源』!根本上每篇文章的編者,都有其對該段條目的一定認識,所以能夠做出一定的評述。如果有人對此覺得不妥當,可以在其覺得不妥當的地方落一註腳,開討論頁。絕對沒有必要要求來源,而編者也應該注意用客觀的文字,以及客觀的證據去編寫文章,這樣已經合乎『百科』的要求。

另外,『紅色搞棉』的來龍去脈,以及其是否由當時中國的共產政府扶持,這樣的東西也需要來源證明,恐怕要求來源的人,根本沒有資格在這裡當一名編輯者或管理人員,以免讓人看低『維基百科』編輯人士的質素!

道德 (留言) 2008年2月12日 (二) 05:00 (UTC)道德[回复]

韩桑林1934年5月25日,出生于磅湛省富赫克列县卡克乡。亲王。1959年参加柬埔寨共产党。1965年,任东部大区通信员。1967年,任营、团级指挥员、师委员会委员。1975年4月,任金边市警卫部队副师长。1976年,任柬埔寨共产党东部大区党委委员、民主柬埔寨革命军第4师政委兼师长。1978年12月2日,任柬埔寨救国民族团结阵线中央委员会主席。1979年1月8日,任柬埔寨人民革命委员会主席。1979年1月10日,任柬埔寨人民共和国最高领导人。1981年5月28日,任柬埔寨人民革命党政治局委员。1981年6月27日,任柬埔寨人民共和国(后称柬埔寨国)国务委员会主席。1981年12月-1991年10月8日,任柬埔寨人民革命党总书记。1991年10月18日,任柬埔寨人民党荣誉主席。1993年7月2日,授予政府军五星上将。1993年11月9日,册封亲王。1995年3月17日,柬埔寨王家军武装部队统一降衔一级,降为王家军四星上将。1998年11月30日-2006年3月21日,任柬埔寨国民议会第一副议长。2006年3月21日,任柬埔寨国民议会议长。 ——————————————————————

以下是英文维基百科中有关“韩桑林”的内容:

Heng Samrin From Wikipedia, the free encyclopedia This article contains Khmer text. Without proper rendering support, you may see question marks, boxes, or other symbols instead of Khmer script.


Heng Samrin in 2009 Heng Samrin (Khmer: ហេង សំរិន; born 1934) is a Cambodian politician.[1] He was the chairman of the People's Republic of Kampuchea and the State of Cambodia (1979–1993), and later vice chairman (1998–2006) and chairman of the National Assembly of Cambodia since 2006. Heng was born in Prey Veng Province, Cambodia. He became a member of the Khmer Rouge communist movement led by Pol Pot, and became a political commisar and army division commander when the Khmer Rouge took over the government in 1975. In 1978, he defected from the Khmer Rouge, which was backed by China, and fled to Vietnam. There he became one of the founding members of the Kampuchean United Front for National Salvation (FUNSK). Later that year, Heng returned to Cambodia, leading a rebellion which was backed by Vietnam and the Soviet Union. The Cambodian People's Party recently released a book about him called, A Man of the People,[2] dedicated to him as a hero.[3] After a Vietnamese invasion of Cambodia overthrew the Khmer Rouge in 1979, Vietnamese occupation authorities established the People's Republic of Kampuchea, installing Heng and other pro-Vietnamese Communist politicians as leaders of the new government.[4] He became chairman of the People's Revolutionary Council of the PRK in 1979. In 1981 he became chairman of the Council of State and secretary-general of the People's Revolutionary Party. Though at first he was the effective leader of the government, he quickly lost much of his power when the more moderate Hun Sen became Prime Minister in 1985. As Vietnamese influence declined, Heng began losing his posts, including the post of secretary-general in 1991 and chairman of the council of state in 1992. When King Norodom Sihanouk was restored in 1993, Heng was given the honorary title of Sâmdech, senior advisor of the King, and was made honorary chairman of Hun Sen's Cambodian People's Party. Since 2006, he is Chairman of the Solidarity Front for Development of the Cambodian Motherland. Today, Heng Samrin is a much loved and respected figure among the members of the Cambodian People's Party, even though his duties are often largely ceremonial.[5] His full title is Samdach Akeak Moha Ponhea Chakrei Heng Samrin, Protean Radhsaphea ney Preah Reacheanachak Kampuchea. See also [edit]

People's Republic of Kampuchea References [edit]

^ Biographies ^ Heng Samrin, A Man of the People. ^ Hunt, Luke. "Heng Samrin, Man of the People". Retrieved 1 June 2012. ^ Heller, H (2007). "Cambodia: Modern History". In Marshall Cavendish. World and Its peoples: Eastern and Southern Asia 6. ^ Hunt, Luke. "Heng Samrin, Man of the People". The Diplomate. Retrieved 1 June 2012. External links [edit]

http://www.seasite.niu.edu/khmer/Ledgerwood/biographies.htm Political offices Preceded by Khieu Samphan President of the State Presidium Chairman of the Revolutionary Council of Kampuchea 1979 – 1981 Succeeded by Himself Chairman of the State Council Preceded by Himself Chairman of the Revolutionary Council Chairman of the State Council of Cambodia 1981 – 1992 Succeeded by Chea Sim Preceded by Norodom Ranariddh President of the National Assembly of Cambodia 2006 – present Incumbent Party political offices Preceded by Pen Sovan General Secretary of the Kampuchean People's Revolutionary Party 1981 – 1991 Succeeded by Chea Sim President of the People's Party


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以下是法语维基百科中有关“韩桑林”的内容:

Heng Samrin Heng Samrin ហេង​ ​សំ​រិ​ន

Fonctions Président de l'Assemblée nationale du Cambodge En fonction depuis le juillet 2006 (6 ans, 10 mois et 27 jours) Prédécesseur Norodom Ranariddh Président du Conseil d'État du Cambodge1 7 janvier 1979 – 6 avril 1992 (13 ans, 2 mois et 29 jours) Premier ministre Pen Sovan Chan Sy Hun Sen Prédécesseur Khieu Samphân Successeur Chea Sim Biographie Nom de naissance Heng Samrin Date de naissance 1934 (78–79 ans) Lieu de naissance Province de Prey Veng (Indochine française) Nationalité cambodgienne Parti politique Parti du peuple cambodgien Conjoint Heng Samrin

Chefs d'État cambodgiens modifier Heng Samrin (né en 1934), est un homme politique cambodgien. Ancien commandant de division khmer rouge, il s'enfuira au Viêt Nam en 1978 pour échapper aux purges menées par ses anciens mentors. Il prendra la tête du gouvernement mis en place à Phnom Penh par les troupes vietnamiennes au début de 1979 et restera officiellement chef de l'État jusqu'en 1992, même si à partir de 1985, le pouvoir effectif sera exercé par le Premier ministre Hun Sen. Il est aussi l'un des dirigeants du Parti du peuple cambodgien, qui participe au pouvoir de façon continue depuis 1979. Biographie [modifier]

Il est né au sein d’une famille paysanne, le 25 mai 1934, à Anlong Krek, dans la province de Kompong Cham. Après une scolarité sommaire, au début des années 1950, il rentre dans un groupe en lutte contre le pouvoir colonial français et dans lequel il côtoie des combattants communistes dont il rejoindra le mouvement à une date inconnue. En 1954, les accords de Genève confirment l’indépendance du Cambodge, acquise en 1953, mais surtout amène à l’éclatement du parti communiste khmer entre les militants qui choisissent de partir au Viêt Nam du Nord, ceux qui restent dans le maquis et ceux qui choisissent d’intégrer la vie politique du royaume au sein du « Pracheachon » créé pour l’occasion et qui participera aux élections générales. Heng Samrin fera l’expérience de ces trois composantes. En effet, il partira à Hanoï en 1954 pour parfaire son éducation idéologique avant de rentrer en 1956 au Cambodge et d’intégrer le Pracheaton, puis de prendre le maquis en 1967, après les émeutes paysannes de Samlaut. Dans cette guérilla que Norodom Sihanouk appellera bientôt khmère rouge, il fait partie de la faction dite des khmers Hanoï, ces quelque 1 500 combattants formés par les Nord-Vietnamiens et donc proches d’eux, installés dans des bases à l’est du pays et notamment sur la partie cambodgienne de la Piste Hô Chi Minh. Il gravit petit à petit les échelons de l’armée révolutionnaire du Kampuchéa jusqu’à accéder, le 12 janvier 1968, au grade de commandant. À la fin des années 1960, les combats s’intensifient contre le pouvoir de Norodom Sihanouk, mais tout change le 18 mars 1970, lorsque ce dernier est renversé. L’ennemi de hier devient l’allié et le nouvel adversaire est le régime de Lon Nol, soutenu par les États-Unis. Ce changement atténue, au moins pour un temps, les rivalités entre les partisans et les adversaires du régime de Hanoï, ce qui permettra à Heng Samrin de poursuivre son ascension. Commandant du 173ème régiment de l’Armée révolutionnaire de Libération, il s’empare en février 1975 de la ville de Neak Loeung et coupe la dernière voie d’approvisionnement de la capitale qui ne pourra plus compter que sur un pont aérien. Deux mois plus tard, il contribuera à la prise de Phnom Penh, le 17 avril 1975, avant d’être nommé, au début de 1976, commandant de la 4ème division de la zone Est du Kampuchéa démocratique et commissaire politique. Il n'existe pas de témoignages le mettant personnellement en cause dans des massacres commis à l'encontre de la population dans la Zone Est, où le régime Khmer rouge se montre nettement moins meurtrier qu'ailleurs2. En 1977, il participe sous les ordres de So Phim à une grande offensive contre le Viêt Nam qui se soldera par un échec. Impliqué – à tort ou à raison - dans une rébellion avortée contre Pol Pot et par crainte d’être éliminé (les purges feront 100 000 victimes dans la zone Est, dont Heng Thal, frère de Heng Samrin), il quitte le Cambodge le 25 mai 1978 et se réfugie au Viêt Nam. Le 2 décembre 1978, il fait partie des 14 fondateurs du Front uni national pour le sauvetage du Kampuchéa, soutenu par le Viêt Nam et l’URSS. Étant le plus haut gradé parmi ces membres fondateurs, il en est tout naturellement nommé président. Il met alors sur pied des maquis au Cambodge, mais s’aperçoit rapidement qu’il ne pourra vaincre sans l’aide des Vietnamiens. Le régime de Pol Pot tombe au début de 1979 sous les coups de boutoir de l’armée vietnamienne et le 7 janvier, Heng Samrin prend la tête d’un nouveau gouvernement d’obédience communiste et largement contrôlé par les autorités de Hanoï qui laissent quelque 180 000 militaires et conseillers au Cambodge. Il restera à la tête de l’Etat pendant plus de 12 ans. Cette influence vietnamienne sera renforcée par un traité d’amitié et de coopération, le 18 février 1979. En 1981, il devient président du conseil révolutionnaire de la nouvelle République Populaire du Kampuchéa et, en décembre de la même année, secrétaire général du Parti révolutionnaire du peuple du Kampuchéa, alors parti unique. Alors qu’il est au début le leader du gouvernement, il perdra sa prédominance à la suite de plusieurs échecs qui lui seront attribués. Il refuse notamment jusqu’à la fin de 1979 l’acheminement de l’Aide humanitaire occidentale afin d’affamer les régions sous le contrôle de la guérilla khmère rouge. Il ne pourra pas non plus faire reconnaître la République Populaire du Kampuchéa en dehors des pays sous influence soviétique et surtout, ne pourra jamais siéger à l’ONU qui continuera à considérer les khmers rouges comme les seuls à même de représenter le Cambodge. Surtout, si le pays est complètement ravagé, les efforts de reconstruction sont contrariés par la guerre qui perdure. De même, si le nouveau régime peut être considéré comme moins brutal que son prédécesseur khmer rouge, les atteintes aux droits de l’homme restent fréquentes et font régulièrement l’objet de rapports de la part d’ONG telles qu’Amnesty International. Son étoile commence à faiblir avec l’accession d’Hun Sen au poste de Premier ministre, le 14 janvier 1985. En 1991, la paix avec la guérilla semble proche et Heng Samrin participe aux accords de Paris en tant que représentant du pouvoir en place. Avec le départ des Vietnamiens, dont il fut pour beaucoup le protégé - voire l’homme de paille -, il sera remplacé à la tête de l’Etat le 23 octobre 1991 par Norodom Sihanouk et, toujours en octobre 1991, cédera la direction du Parti du peuple cambodgien (nouveau nom du Parti révolutionnaire du peuple du Kampuchéa) à Chea Sim. En 1993, lorsque Norodom Sihanouk retrouve son trône, il est nommé président honoraire du Parti du peuple cambodgien dirigé par Hun Sen. En 1998, il devient vice-président de l’Assemblée nationale, avant d’accéder, en 2006, au poste de président de la chambre basse. Sources [modifier]

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Heng Samrin » (voir la liste des auteurs) (fr) Liste des dirigeants - Cambodge - Université de Sherbrooke (fr) Solomon Kane, Dictionnaire des khmers rouges, Aux Lieux d'être, 17 janvier 2007 (ISBN 2916063277) (en) American Cambodian intelligence Center (en) Dr. Judy Ledgerwood - Cambodian Recent History and Contemporary Society Biographies Department of Anthropology and Center for Southeast Asian Studies - Northern Illinois University (fr) Nayan Chanda, Les frères ennemis, Éditions du CNRS, (ISBN 9780222200211) (fr) RFI – Fiche pays - Cambodge (en) Novel guide - Heng Samrin (fr) Les missions de paix et le Canada – Cambodge Politique étrangère et missions de paix – Centre de Recherche pour le Développement International Notes et références [modifier]

↑ Président du Conseil révolutionnaire jusqu'en 1981. ↑ Ben Kiernan, Le Génocide au Cambodge, Gallimard, 1998, page 254